Fontaine de Barenton et Chêne à Guillotin

De Wikipedia…
La fontaine de Barenton est un lieu légendaire de Brocéliande selon les textes du cycle arthurien.

Cette fontaine merveilleuse est mentionnée dans plusieurs sources médiévales, en particulier le Roman de Rou écrit par Wace. Elle est citée vers 1160 comme une fontaine pouvant déclencher la tempête. À la fin du XIIe siècle, elle est associée à la légende arthurienne et devient un lieu d’épreuve pour les chevaliers de la cour de Bretagne. Indissociable de la forêt de Brocéliande, elle a néanmoins connu moins de succès que cette dernière. Ainsi apparaît-elle souvent dans les textes médiévaux sans être nommée.

Balise pour arriver jusqu’à la fontaine magique

Et l’une des particularités de la fontaine est de bouillir à froid…

des bubulles…

Selon la légende, il suffisait de déposer quelques gouttes d’eau sur le perron pour déclencher une tempête de grêle (on attend encore…).

Le perron où Merlin venait méditer et penser à Viviane

Autre lieu de légende, situé prêt de Concoret, le chêne à Guillotin. La légende est par contre plus proche de nous puisqu’elle remonte à la Terreur. Selon la version qui nous est parvenue, l’abbé Guillotin voulant échapper aux révolutionnaires se cacha dans le creux de cet arbre. Priant alors Dieu, ou Notre-Dame-De-Paimpont ou autre sainteté, l’entrée du chêne fut recouverte d’une toile d’araignée laissant à supposer que personne n’avait pu s’y glisser à l’intérieur en laissant intacte.

L’arbre fut aussi connu comme l’arbre d’Eon, du nom d’un ermite/abbé/druide, Eon de l’étoile ayant vécu vers 1100. Mais là encore, beaucoup d’incertitudes.

Le chêne est estimé vieux de 1000 ans mais d’autres experts le voient plus jeune. On est par contre sûr de ses mensurations : 20m de hauteur et 10m de circonférence !